jeudi 10 février 2011

Salubrité publique

Message d'un adhérent

Je soutiens pleinement vos actions.

J’habite le quartier depuis 1998 et j’ai vu la situation se dégrader sans que rien ne soit fait, jusqu’à l’an dernier.

Je considère que les travaux sont un début, mais que 80% restent à faire. Il n’est pas admissible que la Mairie continue à faire le dos rond.

Le problème de la propreté ne saurait se résoudre par le nettoyage. Il faut que les salons et, à travers eux, leurs usagers se responsabilisent pour la saleté des lieux : mèches de cheveux éparpillées dans la rue et s’immisçant dans les halls d’immeubles, résidus de consommation de boissons et de nourriture jetés n’importe où. Si les coiffeurs balayaient régulièrement leur salon, aucune mèche ne traînerait dans la rue !

Autre problème : la vente ambulante de nourriture confectionnée !

Il me semble que ces deux questions relèvent tout simplement de la santé et de la salubrité publique et que les infractions, faciles à constater, doivent être sanctionnées. Les responsables des salons ne peuvent pas feindre d’ignorer tout cela.

Encore d’autres problèmes : le bruit et les trafics de stupéfiants, désormais dans les halls d’immeubles ; enfin, les ongleries et les produits chimiques utilisés.

1 commentaire:

  1. Je vous suis tout à fait ! M'étant plaint de la saleté des trottoirs à cause des mèches de cheveux s'immisçant partout, il m'a éré répondu (Mairie) qu'un nettoyage spécial était effectué chaque matins ! Ce que je n'ai jamais constaté, mais je me doute qu'aussitôt la saleté reprenne le dessus. Ma question suivante a été : Qui paye ce supplément de nettoyage ? Et là, aucune réponse ! Le nouveau chocolatier a bien du mérite à avoir repris une activité de bouche dans un endroit aussi crasseux. Sans compter qu'il est difficile de se frayer un passage sur les trottoirs car même là il faut contourner des personnes qui occupent l'espace sans se gêner. Savez-vous qu'ailleurs à Paris, toute mèche de cheveux sur le trottoir entraine la verbalisation du coiffeur à proximité ? Pourquoi pas dans le X° ? C'est curieux, n'est-ce pas, mais nous en subissons les conséquences. Enfin nous avons expérimenté depuis peu l'intrusion de dealers dans les parties communes, derrière le porche de notre immeuble, ainsi que des tentatives d'intrusion dans les cages d'escaler : tout simple, ils appuyent sur TOUS les boutons, espérant que quelqu'un finira par déclencher l'ouverture ! ... Bien cordialement RD

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